« Motiver, c’est inverser le sens de l’énergie »
François Proust (français)
Il parait que cette phrase se comprend de deux manières :
1/Le paresseux, devant les tâches difficiles, ne fait qu’avancer des
excuses. Il motive sa décision de délaisser, d’abandonner. Il montre sa fuite
comme une sagesse. Il fait motivation au moment où il est imprégné d’énergie et
de force. Ainsi il substitue l’énergie efficace, fructueuse par la mollesse,
l’inactivité, la paresse, l’indifférence, et l’indolence. On peut conclure donc
qu’il a tué cette énergie et qu’il a inversé le sens de l’énergie.
2/A l’encontre de ce que a été dit précédemment, motiver une bonne
décision ou une bonne action signifie renforcer notre énergie et notre
détermination. Là nous inversons le sens de l’énergie du trouble, du doute, de
la réflexion à l’action et à l’exécution.
Finalement : Est-ce que le
fait de motiver est une bonne ou mauvaise action ? Motiver une décision
est un bon fait si cette décision est en faveur de la progression et la
réussite, et il est un mauvais fait si
cette décision nous paralyse et nous accable.